Friday, September 23, 2011

Critique - The Destiny of the Republic de Candice Millard


Titre: The Destiny of The Republic: A Tale of Madness, Medicine and The Murder of a président
Auteur: Candice Millard
Éditions: Doubleday
No. de pages: 368
Type: Roman historique
Langue: Anglais
Résumé: 
James A. Garfield peut être considéré comme l'homme le plus extraordinaire jamais élu président. Né dans une pauvreté abjecte, il se leva pour devenir un érudit prodige, héros de la guerre civile et un membre du Congrès réformateur de renom et d'admiration. Nommé président, contre son gré, il s'est engagé dans une bataille féroce contre l'établissement politique corrompu. Mais quatre mois après son inauguration, un chercheur de bureau dérangé suivis Garfield vers le bas et lui ont tiré dans le dos.
Mais le coup n'a pas tué Garfield. Le drame de ce qui s'est passé ensuite est une histoire puissante d'une nation qui tombe dans la tourmente. L'attentat d'assassinat vient fragilisé un peuple récemment fracturé par la guerre civile et laisse le président blessé comme l'objet d'une amère lutte en arrière-scènes pour le pouvoir sur son administration, sur l'avenir de la nation et sur ses soins médicaux. Une équipe de médecins administrent des traitements scandaleusement archaïques à l'effet désastreux. Comme son état ​​empirait, Garfield reçu de l'aide: Alexander Graham Bell, l'inventeur du téléphone, a travaillé sans relâche pour inventer un nouveau dispositif capable de trouver la balle.
Méticuleusement documenté, épique dans sa portée et palpitant avec un point de vue intime et humain et une narration dynamique, The Destiny of the Republic sera à côté du The Devil in the White City et The Professour and the Madman comme un classique de roman historique.

Critique:
Ce  roman historique vient me confirmer à quel point j'adore l'histoire. Le livre raconte la montée de Garfield, un garçon pauvre, au post du  président des États-Unis et sa décente vers la mort par les mains d'un homme fou.


Ce roman qui est richement documenté, ne perd rien de la fluidité narrative lors des transitions d'un sujet à un autre. Candice Millard fourni la quantité juste des détails historiques pour revivre l'époque sans tomber dans des énumérations des dates pénibles à suivre.

Candice présent Garfield et son assassin, Guiteau, sans ajouter des mots péjoratifs qui influencent la perception du lecteur. Malgré cela, je n'ai pas pu sentir la moindre pitié par Guiteau, malgré son enfance difficile. Je me demandais tout le long comment il a pu supporter de vivre de cette manière si longtemps et comment la société à cette époque était si aveugle au besoin de certain?
Les deux hommes ont commencé d'un bas similaire. Les deux vivaient dans la pauvreté. Mais, l'un était armée de science et des connaissances, alors que l'autre était submergé dans une religion extrémiste et ne lui a appris que la ruse et le vol. La différence des personnalités et le premier contact avec le monde était un élément cruciale dans la formation des deux hommes.

J'admire Garfield beaucoup. Il est homme honorable qui a in caractère aimable. Il est toujours calme et de bonne humeur même quand il était fusillé par Guitreau. Il riait et parlait quand il pouvait et faisait rire sa femme et ses enfants malgré son état critique. Quel personnage!
J'ai également admiré la connexion entre le peuple américain et leur président. Il était prêt à tout faire pour l'aider à guérir et à le venger. Il y a plusieurs qui ont essayé de tuer Guitreau par vengeance, alors que d'autres ont aidé à construire un chemin de fer pour le transporter vers la mer. Une petite madame était prête à sacrifier son jardin pour faire passer le train. À plusieurs repris, lorsque les gens s'assemblaient par solidarité avec le président, ils oubliaient la différence entre un blanc ou un noir, un nordiste ou un sudiste. Ces passages étaient des plus mouvants et inspirants.

À travers ce magnifique livre, j'ai remarqué quelques éléments sur la société des années 1800s. J'ai remarqué que les hommes qui ont du succès  le considèrent comme une perte au lieu d'un gain. Garfield voit son élection présidentielle comme une perte de temps libre qu'il passait avec sa famille et Bell, l'inventeur du téléphone, voit le téléphone comme une invention qui va le consommer et l’empêcher de réaliser autres choses. Cette vision n'est plus partagée pour la société d'aujourd'hui. Le succès est tout ce que le monde veut. C'est le but ultime de la majorité des gens qui travaillent ou étudient.

J'étais très surprise de l'état de la science de la médecine exposé à travers le livre. Il y a plusieurs passages sur l'état de santé du président qui montrait à quel point la médecine avait besoin d'avancer. Des mesures antiseptiques n'étaient pas encore utilisées et les médecins ne nettoyaient pas leurs instruments. Le pus était quelque chose de bien. Plus le plaie avait du pus dedans plus c'est bon. J'étais dégoûtée et horrifiée par ces passages médicals. Malgré tout, c'était un aspect très intéressant à lire, car ce n'est pas dans tout les livres qu'on expose les vrais conditions de vie.

Bref, c'est un livre magnifique sur un des présidents des États-Unis qui sont les moins connus, mais qui étaient des personnages remarquables et très aimables. Le nouveau point de vue que ce livre donne aux années 1800s est très intriguant et intéressant. Un livre à lire absolument.

5/5

Ce roman m'était envoyé par RandomHouse. C'est un critique honnête qui ne contient que mon opinion personnel. Je n'ai pas reçu de compensation monétaire pour faire le faire. 

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