Cette fois, la citation que je vais présentée est tirée du livre de fiction de David Lebland Mon nom est personne. Ce livre est constitué de plusieurs petits passages indépendants l'un de l'autre.
Ma citation vient du chapitre intitulé « l'isralestinien» qui décrit d'une manière assez spéciale la situation politique entre la Palestine et l'Israël.
« Certes, il arrivait parfois à ces deux corps de se lancer des pierres, comme pour s'obliger à rester alertes malgré la distance, mais aucun ne réussit jamais à atteindre l'autre, soit que la distance était plus grande que la force de ses quatre bras, soit que l'Isralestinien, se faisant toujours face-à-face à lui-même et lui seul, ne pouvait faire autrement que de lancer chaque fois deux pierre qui chaque corps voulant heurter l'autre tête au même instant, s'annulaient en plein vol, choc contre choc, pour s'abattre à mi-chemin, côte à côte.»
J'aurais voulus continuer ma citation encore plus, mais je révélerais trop de ce passage. Déjà ici, la relation israélo-palestinienne est illustrée d'une manière très nouvelle, ce qui a attiré tout de suite mon attention.
En plus, l'auteur utilise le symbole de la pierre qu'on reconnaît très bien à travers les médias aux palestiniens qu'ils l'utilisent contre les militaires israéliens.
En lisant sur ce combat éternel qui se déroule en moyen-orient, ceci m'a fait aussitôt penser à la révolution qui se produit présentent en Egypte, car dans les deux cas on voit des peuples qui veulent reprendre leur vie en mains et se donner une meilleur qualité de vie.